Quatrième de couverture : C'était comme une horrible partie de chat. On finit par découvrir qu'il s'agissait d'une nouvelle maladie qui
n'affectait que les adolescents. On la surnomma la " peste ado " et " la
crève ". Les symptômes en étaient aussi variés qu'imprévisibles.
Certains s'en tiraient à bon compte - quelques bosses ou une vilaine
éruption cutanée - d'autres devenaient des monstres ou il leur poussait
de nouveaux membres. mais quels que fussent les symptômes, une fois
touché, on était " le chat " pour toujours.
Avis : J'ai lu cette BD en pensant à l'adaptation en film que pourrait en faire Joseph Kosinski (voir mon précédent billet) et j'avoue que j'ai du mal à imaginer le réalisateur dans ce domaine particulier de la science fiction (l'Homme-mutant).
En ce qui concerne la BD, j'ai trouvé le dessin en noir et blanc très juste pour décrire le mal être de cette bande d'adolescent. Le scénario est étrange, fantastique peut être un peu trop gore pour moi. Dans tous les cas, cette BD ne laisse pas indifférent et mérite d'être lue.
Bonus : quelques images que je trouve très belles
mardi 23 avril 2013
samedi 13 avril 2013
Cloud Atlas - Wachowski & Tykwer (2013)
Synopsis : À travers une histoire qui se déroule sur cinq siècles dans plusieurs
espaces temps, des êtres se croisent et se retrouvent d’une vie à
l’autre, naissant et renaissant successivement… Tandis que leurs
décisions ont des conséquences sur leur parcours, dans le passé, le
présent et l’avenir lointain, un tueur devient un héros et un seul acte
de générosité suffit à entraîner des répercussions pendant plusieurs
siècles et à provoquer une révolution. Tout, absolument tout, est lié. (source allociné)
Avis : Il parait (moi, je n'en ai aucune souvenir) que j'ai essayé de lire le livre et que je l'ai détesté.... Pourtant, j'ai adoré le film. Les 6 histoires s’entremêlent de manière fluide, interagissant parfois l'une sur l'autre de manière surprenante. Les passages d'une histoire à l'autre sont toujours très travaillés visuellement, créant une atmosphère commune à ces 6 histoires pourtant très différentes. Les mêmes acteurs jouent jusqu'à 6 rôles différents (j'avoue ne pas les avoir toujours reconnus tellement les maquillages sont bluffants) ce qui laisse penser à la réincarnation. Et ce qui est tout à fait inédit, c'est que suivant les périodes, ils jouent soit les gentils soit les méchants. Ce film est riche de détails visuels, de détails scénaristiques, ce qui donne envie de le revoir pour s'intéresser plus particulièrement aux détails secondaires qui foisonnent dans le film.
Bonus : une réflexion des réalisateurs et des acteurs sur les multiples possibilités de ce film...
Avis : Il parait (moi, je n'en ai aucune souvenir) que j'ai essayé de lire le livre et que je l'ai détesté.... Pourtant, j'ai adoré le film. Les 6 histoires s’entremêlent de manière fluide, interagissant parfois l'une sur l'autre de manière surprenante. Les passages d'une histoire à l'autre sont toujours très travaillés visuellement, créant une atmosphère commune à ces 6 histoires pourtant très différentes. Les mêmes acteurs jouent jusqu'à 6 rôles différents (j'avoue ne pas les avoir toujours reconnus tellement les maquillages sont bluffants) ce qui laisse penser à la réincarnation. Et ce qui est tout à fait inédit, c'est que suivant les périodes, ils jouent soit les gentils soit les méchants. Ce film est riche de détails visuels, de détails scénaristiques, ce qui donne envie de le revoir pour s'intéresser plus particulièrement aux détails secondaires qui foisonnent dans le film.
Bonus : une réflexion des réalisateurs et des acteurs sur les multiples possibilités de ce film...
mercredi 10 avril 2013
Oblivion - Joseph Kosinski (2013)
Synopsis : 2077 : Jack Harper, en station sur la planète Terre dont toute la population a été évacuée, est en charge de la sécurité et de la réparation des drones. Suite à des décennies de guerre contre une force extra-terrestre terrifiante qui a ravagé la Terre, Jack fait partie d’une gigantesque opération d’extraction des dernières ressources nécessaires à la survie des siens. Sa mission touche à sa fin. Dans à peine deux semaines, il rejoindra le reste des survivants dans une colonie spatiale à des milliers de kilomètres de cette planète dévastée qu’il considère néanmoins comme son chez-lui.
Vivant et patrouillant à très haute altitude de ce qu’il reste de la Terre, la vie "céleste" de Jack est bouleversée quand il assiste au crash d’un vaisseau spatial et décide de porter secours à la belle inconnue qu’il renferme. Ressentant pour Jack une attirance et une affinité qui défient toute logique, Julia déclenche par sa présence une suite d’événements qui pousse Jack à remettre en question tout ce qu’il croyait savoir. (source : allociné)
Avis : Oblivion est un film assez classique d'anticipation (une guerre qui a détruit la moitié de la planète, une course contre la montre pour la survie de l'espèce humaine qui dépend, bien sûr, du héros...) Et pourtant, tout son intérêt repose sur une succession de révélations, plus ou moins attendues, qui s'enchainent jusqu'à la dernière minute. Les images sont belles, les prises de vues travaillées. On navigue dans trois ambiances plutôt bien réalisées : un futur aseptisé (comme dans Antiviral du fils Cronenberg), un monde dévasté par la guerre où vivent une poignée de survivants (comme dans Matrix), la planète terre revenue à l'état sauvage (comme dans les reportages d'Ushuaïa).
Le film a un rythme lent, voire trop lent, constat que j'avais déjà fait pour le précédent film du réalisateur (Tron l'héritage). Kosinski prévoit d'adapter prochainement Black Hole, une bande dessinée de Charles Burns. Du coup, ça m'a donné envie de la lire et de la mettre dans ma PAL (pile de livre à lire).
Bonus : Une vidéo montrant les coulisses du Techoptère...
Vivant et patrouillant à très haute altitude de ce qu’il reste de la Terre, la vie "céleste" de Jack est bouleversée quand il assiste au crash d’un vaisseau spatial et décide de porter secours à la belle inconnue qu’il renferme. Ressentant pour Jack une attirance et une affinité qui défient toute logique, Julia déclenche par sa présence une suite d’événements qui pousse Jack à remettre en question tout ce qu’il croyait savoir. (source : allociné)
Avis : Oblivion est un film assez classique d'anticipation (une guerre qui a détruit la moitié de la planète, une course contre la montre pour la survie de l'espèce humaine qui dépend, bien sûr, du héros...) Et pourtant, tout son intérêt repose sur une succession de révélations, plus ou moins attendues, qui s'enchainent jusqu'à la dernière minute. Les images sont belles, les prises de vues travaillées. On navigue dans trois ambiances plutôt bien réalisées : un futur aseptisé (comme dans Antiviral du fils Cronenberg), un monde dévasté par la guerre où vivent une poignée de survivants (comme dans Matrix), la planète terre revenue à l'état sauvage (comme dans les reportages d'Ushuaïa).
Le film a un rythme lent, voire trop lent, constat que j'avais déjà fait pour le précédent film du réalisateur (Tron l'héritage). Kosinski prévoit d'adapter prochainement Black Hole, une bande dessinée de Charles Burns. Du coup, ça m'a donné envie de la lire et de la mettre dans ma PAL (pile de livre à lire).
Bonus : Une vidéo montrant les coulisses du Techoptère...
jeudi 4 avril 2013
Puggy - To win the world (2013)
Puggy en concert
J'adore ce groupe et sa musique. Difficile de dire pourquoi... son côté pop ? leurs refrains entêtants ? leurs clips, toujours beaux et bien réalisés ?
Et j'avoue ne pas avoir été déçue par leur concert. Ils se donnent à fonds pendant deux heures et arrivent à créer une belle osmose avec le public.
Un très chouette moment partagé entre amies
Comme dirait Puggy :
"Bordeaux, you were amaaaaaaaazing !!!
Thank you so much"
Bonus : Un lien vers une vidéo tournée lors du Concert Privé Virgin Radio au Sentier des Halles (Paris) qui reprend une grande partie du concert que j'ai pu voir.
J'adore ce groupe et sa musique. Difficile de dire pourquoi... son côté pop ? leurs refrains entêtants ? leurs clips, toujours beaux et bien réalisés ?
Et j'avoue ne pas avoir été déçue par leur concert. Ils se donnent à fonds pendant deux heures et arrivent à créer une belle osmose avec le public.
Un très chouette moment partagé entre amies
Comme dirait Puggy :
"Bordeaux, you were amaaaaaaaazing !!!
Thank you so much"
Bonus : Un lien vers une vidéo tournée lors du Concert Privé Virgin Radio au Sentier des Halles (Paris) qui reprend une grande partie du concert que j'ai pu voir.
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