Vivant et patrouillant à très haute altitude de ce qu’il reste de la Terre, la vie "céleste" de Jack est bouleversée quand il assiste au crash d’un vaisseau spatial et décide de porter secours à la belle inconnue qu’il renferme. Ressentant pour Jack une attirance et une affinité qui défient toute logique, Julia déclenche par sa présence une suite d’événements qui pousse Jack à remettre en question tout ce qu’il croyait savoir. (source : allociné)
Avis : Oblivion est un film assez classique d'anticipation (une guerre qui a détruit la moitié de la planète, une course contre la montre pour la survie de l'espèce humaine qui dépend, bien sûr, du héros...) Et pourtant, tout son intérêt repose sur une succession de révélations, plus ou moins attendues, qui s'enchainent jusqu'à la dernière minute. Les images sont belles, les prises de vues travaillées. On navigue dans trois ambiances plutôt bien réalisées : un futur aseptisé (comme dans Antiviral du fils Cronenberg), un monde dévasté par la guerre où vivent une poignée de survivants (comme dans Matrix), la planète terre revenue à l'état sauvage (comme dans les reportages d'Ushuaïa).
Le film a un rythme lent, voire trop lent, constat que j'avais déjà fait pour le précédent film du réalisateur (Tron l'héritage). Kosinski prévoit d'adapter prochainement Black Hole, une bande dessinée de Charles Burns. Du coup, ça m'a donné envie de la lire et de la mettre dans ma PAL (pile de livre à lire).
Bonus : Une vidéo montrant les coulisses du Techoptère...
Tiens, savais pas pour Black Hole. j'espère que ça ne se fera pas parce que la bd ne correspond pas du tout à son style. Le film a l'air beau mais sans intérêt, comme Tron...
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