Quatrième de couverture : Photographe de presse, Gé a passé sa vie à sillonner le globe. De ses reportages, il a rapporté des milliers d'images et d'histoires extraordinaires, reflets de la beauté du monde et de la violence des hommes... Dix auteurs phares de la littérature ado. Dix chapitres. Un roman pas comme les autres.
Avis : J'ai beaucoup aimé ce livre qui mêle une multitude d'époques, de personnages et de contrées lointaines qui se rejoignent au fur et à mesure du livre pour reconstituer la vie de Gé, de sa nièce et de son neveux. Tous les récits n'ont pas la même charge émotionnelle mais l'ensemble laisse une agréable impression d'unité, sauf pour le dernier chapitre qui m'a semblé déplacé car beaucoup trop futuriste. A lire notamment pour découvrir les différents styles de ces dix auteurs célèbres de la littérature ado.
dimanche 24 mars 2013
samedi 23 mars 2013
Jappeloup - Christian Duguay (2013)
Synopsis : Au début des années 80, abandonnant une carrière d’avocat prometteuse, Pierre Durand se consacre corps et âme à sa passion, le saut d’obstacle. Soutenu par son père, il mise tout sur un jeune cheval auquel personne ne croit vraiment : Jappeloup. Trop petit, trop caractériel, trop imprévisible, il a de nombreux défauts mais une détente et des aptitudes remarquables. De compétition en compétition, le duo progresse et s’impose dans le monde de l’équitation. Mais les JO de Los Angeles sont un terrible échec et Pierre prend alors conscience de ses faiblesses. Avec l’aide de Nadia, sa femme, et de Raphaëlle, la groom du cheval, Pierre va regagner la confiance de Jappeloup et construire une relation qui va les mener aux JO de Séoul en 1988. (source : allociné)
Avis : C'est un film qui aurait pu être un bon film si la réalisation avait été meilleure : les dialogues longs à n'en plus finir et les trop nombreuses péripéties nuisent au film, qui perd tout son rythme. Même les images de compétitions et de chevaux, qui sont traditionnellement cinégéniques, sont ici insipides et sans intérêt. Les acteurs font le minimum syndical. Bref, c'est un film décevant...
Avis : C'est un film qui aurait pu être un bon film si la réalisation avait été meilleure : les dialogues longs à n'en plus finir et les trop nombreuses péripéties nuisent au film, qui perd tout son rythme. Même les images de compétitions et de chevaux, qui sont traditionnellement cinégéniques, sont ici insipides et sans intérêt. Les acteurs font le minimum syndical. Bref, c'est un film décevant...
lundi 18 mars 2013
Des Saumons dans le desert - Lasse Hallström (2012)
Synopsis : Lorsqu’un richissime cheikh du Yémen se met en tête d’introduire des
saumons dans les rivières de son pays, tout le monde pense qu’il s’agit
d’une pure folie. Pourtant, entre volontés politiques et coups du
destin, une jeune chargée d’affaires, Harriet, et un scientifique, Fred,
vont se retrouver obligés de concrétiser ce rêve insensé. Même si le
projet est un vrai casse-tête, l’aventure tombe plutôt bien pour Fred et
Harriet, dont la vie privée n’est pas au beau fixe… À travers les
voyages, les rencontres et les innombrables péripéties que ce programme
surréaliste occasionne, tous deux vont découvrir l’existence sous un
jour différent. La pêche miraculeuse du cheikh va-t-elle servir d’appât à
l’amour ? (source : allociné)
Avis : Une comédie romantique anglaise de bonne tenue qui arrive à nous faire croire à un postulat de départ un peu fou : pourquoi ne pas pécher dans le Yémen ? Le scénario atypique tient la route et débouche même sur une conclusion que j'ai trouvé belle et humaniste. Ewan McGregor campe très bien son personnage de chercheur un peu autiste qui s'émancipe dans ce projet. Ame Waked est fabuleux, il donne envie d'aimer son personnage (le Cheikh). Seul Kristin Scott Thomas m'a laissée totalement indifférente. Je l'ai même trouvée ennuyeuse. Cette comédie anglaise a fait peu de bruit lors de ça sortie, ce qui est dommage car elle est agréable à regarder.
Avis : Une comédie romantique anglaise de bonne tenue qui arrive à nous faire croire à un postulat de départ un peu fou : pourquoi ne pas pécher dans le Yémen ? Le scénario atypique tient la route et débouche même sur une conclusion que j'ai trouvé belle et humaniste. Ewan McGregor campe très bien son personnage de chercheur un peu autiste qui s'émancipe dans ce projet. Ame Waked est fabuleux, il donne envie d'aimer son personnage (le Cheikh). Seul Kristin Scott Thomas m'a laissée totalement indifférente. Je l'ai même trouvée ennuyeuse. Cette comédie anglaise a fait peu de bruit lors de ça sortie, ce qui est dommage car elle est agréable à regarder.
Apolline en mer - Chris Riddell (Milan - 2011)
Quatrième de couverture : Apolline Brun et son meilleur ami, Monsieur Munroe, sont inséparables... Mais Monsieur Munroe est parti en secret retrouver.... le très grand Troll ! Attention ! Très Grand Danger !
Avis : C'est la troisième histoire pour Apolline mais la première que je lis. Et j'ai découvert un très joli roman graphique. Le texte alterne avec des illustrations travaillées (voir bonus) ce qui donne une certaine fraicheur au roman. Sur ce tome, Chris Riddell utilise la même technique que Brian Selznick dans Black out (parfois traduit en français par "Après la foudre") c'est à dire en utilisant les mots pour raconter une histoire (ici celle d'Apolline) et en parallèle, les images pour en narrer une autre (ici celle de Monsieur Munroe). Cette histoire est loufoque et aurait pu être écrite par un enfant (Monsieur Munroe se ballade alternativement sur une baleine, sur des tortues, entre les griffes d'un aigles,...). C'est cette fraicheur qui fait tout l’intérêt du roman. Le seule bémol, en ce qui me concerne, c'est que c'est écrit pour des enfants dès 9 ans. C'est un peu simple pour un adulte. J'ai préféré de ce fait, comme roman graphique, "L'invention de Hugo Cabret" de Selznick qui s'adresse autant aux enfants qu'aux adultes.
Bonus : Une page, tout au début du livre, présentant Apolline et Monsieur Munroe.
Avis : C'est la troisième histoire pour Apolline mais la première que je lis. Et j'ai découvert un très joli roman graphique. Le texte alterne avec des illustrations travaillées (voir bonus) ce qui donne une certaine fraicheur au roman. Sur ce tome, Chris Riddell utilise la même technique que Brian Selznick dans Black out (parfois traduit en français par "Après la foudre") c'est à dire en utilisant les mots pour raconter une histoire (ici celle d'Apolline) et en parallèle, les images pour en narrer une autre (ici celle de Monsieur Munroe). Cette histoire est loufoque et aurait pu être écrite par un enfant (Monsieur Munroe se ballade alternativement sur une baleine, sur des tortues, entre les griffes d'un aigles,...). C'est cette fraicheur qui fait tout l’intérêt du roman. Le seule bémol, en ce qui me concerne, c'est que c'est écrit pour des enfants dès 9 ans. C'est un peu simple pour un adulte. J'ai préféré de ce fait, comme roman graphique, "L'invention de Hugo Cabret" de Selznick qui s'adresse autant aux enfants qu'aux adultes.
Bonus : Une page, tout au début du livre, présentant Apolline et Monsieur Munroe.
samedi 16 mars 2013
Populaire - Regis Roinsard (2012)
Synopsis : Printemps 1958. Rose Pamphyle, 21 ans, vit avec son père, veuf bourru
qui tient le bazar d’un petit village normand. Elle doit épouser le fils
du garagiste et est promise au destin d’une femme au foyer docile et
appliquée. Mais Rose ne veut pas de cette vie. Elle part pour Lisieux où
Louis Echard, 36 ans, patron charismatique d’un cabinet d’assurance,
cherche une secrétaire. L’entretien d’embauche est un fiasco. Mais Rose a
un don : elle tape à la machine à écrire à une vitesse vertigineuse. La
jeune femme réveille malgré elle le sportif ambitieux qui sommeille en
Louis… Si elle veut le poste, elle devra participer à des concours de
vitesse dactylographique. Qu’importent les sacrifices qu’elle devra
faire pour arriver au sommet, il s’improvise entraîneur et décrète qu’il
fera d’elle la fille la plus rapide du pays, voire du monde ! Et
l’amour du sport ne fait pas forcément bon ménage avec l’amour tout
court… (source : allociné)
Avis : J'aime bien, de manière générale, les films où le héros s'entraine dur pour réaliser son rêve. Et ce film, de ce point de vue est bien réalisé. Rose s'entraine jour et nuit pour un rêve qui au départ n'est même pas le sien. On se prend d'amitié pour cette fille si volontaire, et on vibre même pour elle lors de ces étranges concours de vitesse dactylographique. (on devrait en organiser aujourd'hui sur la vitesse d’envois des sms, ça pourrait être drôle !) C'est un film enjoué, léger, aérien dont on sort avec le sourire...
Bonus : une affiche de l'époque où l'on se rend compte que les concours de vitesse de dactylographie font écho à l'adage "la vitesse, c'est le progrès" !
Avis : J'aime bien, de manière générale, les films où le héros s'entraine dur pour réaliser son rêve. Et ce film, de ce point de vue est bien réalisé. Rose s'entraine jour et nuit pour un rêve qui au départ n'est même pas le sien. On se prend d'amitié pour cette fille si volontaire, et on vibre même pour elle lors de ces étranges concours de vitesse dactylographique. (on devrait en organiser aujourd'hui sur la vitesse d’envois des sms, ça pourrait être drôle !) C'est un film enjoué, léger, aérien dont on sort avec le sourire...
Bonus : une affiche de l'époque où l'on se rend compte que les concours de vitesse de dactylographie font écho à l'adage "la vitesse, c'est le progrès" !
jeudi 14 mars 2013
Dons : Chroniques des rivages de l'ouest tome 1 - Ursula K. Le Guin (L'atalante - 2010)
Quatrième de couverture : «C’est une mystérieuse expérience que de se priver de la vue, mais je
m’y astreignis. Plus je maudissais mon bandeau et plus je redoutais de
le soulever. Il me sauvait de l’horreur de toute destruction
involontaire. Tant que je le portais, je ne tuerais pas ceux que
j’aimais. S’il m’était impossible d’apprendre à user de mon don, je
pouvais au moins apprendre à ne pas m’en servir.»
Dans les collines des Entre-Terres vit un peuple de sorciers capables de miracles. D’un mot, d’un geste, ils allument un foyer, convoquent un animal, guérissent une blessure. Mais ils savent aussi mutiler, corrompre, asservir et tuer. Isolées dans leurs domaines, les familles de ces contrées vivent dans la crainte les unes des autres…
Dons est l’histoire d’Orrec; son héritage est le pouvoir de détruire. Quelle place trouvera-t-il dans ce monde cruel sans laisser sa naissance en décider pour lui?
Avis : Je ne connaissais pas cet auteur mais on dit de lui qu'il a le sens du détail, une subtilité dans l'émotion, un talent pour caractériser ses personnages. Et c'est tout à fait vrai en ce qui concerne les personnages. Ici, on fait la connaissance d'Orrec à travers son discours, sa vision des faits, ce qui donne un récit très subjectif. J'ai beaucoup apprécié toute sa réflexion sur la "perte" de la vue (sûrement parce que je travaille avec des aveugles). Néanmoins, j'ai moyennement accroché à l'histoire qui manque de faits épiques comme on s'y attend pour un livre de Science Fiction. Pas sûr que je lise les tomes 2 et 3...
Dans les collines des Entre-Terres vit un peuple de sorciers capables de miracles. D’un mot, d’un geste, ils allument un foyer, convoquent un animal, guérissent une blessure. Mais ils savent aussi mutiler, corrompre, asservir et tuer. Isolées dans leurs domaines, les familles de ces contrées vivent dans la crainte les unes des autres…
Dons est l’histoire d’Orrec; son héritage est le pouvoir de détruire. Quelle place trouvera-t-il dans ce monde cruel sans laisser sa naissance en décider pour lui?
Avis : Je ne connaissais pas cet auteur mais on dit de lui qu'il a le sens du détail, une subtilité dans l'émotion, un talent pour caractériser ses personnages. Et c'est tout à fait vrai en ce qui concerne les personnages. Ici, on fait la connaissance d'Orrec à travers son discours, sa vision des faits, ce qui donne un récit très subjectif. J'ai beaucoup apprécié toute sa réflexion sur la "perte" de la vue (sûrement parce que je travaille avec des aveugles). Néanmoins, j'ai moyennement accroché à l'histoire qui manque de faits épiques comme on s'y attend pour un livre de Science Fiction. Pas sûr que je lise les tomes 2 et 3...
samedi 9 mars 2013
Möbius - Eric Rochant (2013)
Synopsis : Gregory Lioubov, un officier des services secrets russes, est envoyé à Monaco afin de surveiller les agissements d’un puissant homme d’affaires russe. Dans le cadre de cette mission, son équipe recrute Alice,
une surdouée de la finance. Soupçonnant sa trahison, Gregory va rompre
la règle d’or et entrer en contact avec Alice, son agent infiltré. Naît
entre eux une passion impossible, qui va précipiter leur chute ? (source : allociné)
Avis : Je n'avais pas du tout prévu d'aller voir ce film. J'étais partie pour enfin découvrir Argo (que je n'ai toujours pas vu au passage), mais la séance était complète. Le copain avec qui j'allais au ciné a donc choisi un autre film : Möbius. J'avais beaucoup de préjugé sur ce film (du fait d'avoir trop vu la bande annonce notamment) et finalement, il n'est pas trop mal. J'ai mis beaucoup de temps à me faire à l'idée que Jean Dujardin jouait un personnage russe, ce qui m'a déstabilisé au début.
Ce n'est pas, comme on pourrait s'y attendre, un film d'espionnage, mais plutôt un film d'amour... Il y a très peu de scène d'action, tout est dans les conversations, les non dits, les jeux de regard,... Le réalisateur dit même : "Il faut que les spectateurs aiment regarder Jean et Cécile s'aimer". Un film à découvrir.
Le petit plus : un making off !
Avis : Je n'avais pas du tout prévu d'aller voir ce film. J'étais partie pour enfin découvrir Argo (que je n'ai toujours pas vu au passage), mais la séance était complète. Le copain avec qui j'allais au ciné a donc choisi un autre film : Möbius. J'avais beaucoup de préjugé sur ce film (du fait d'avoir trop vu la bande annonce notamment) et finalement, il n'est pas trop mal. J'ai mis beaucoup de temps à me faire à l'idée que Jean Dujardin jouait un personnage russe, ce qui m'a déstabilisé au début.
Ce n'est pas, comme on pourrait s'y attendre, un film d'espionnage, mais plutôt un film d'amour... Il y a très peu de scène d'action, tout est dans les conversations, les non dits, les jeux de regard,... Le réalisateur dit même : "Il faut que les spectateurs aiment regarder Jean et Cécile s'aimer". Un film à découvrir.
Le petit plus : un making off !
mardi 5 mars 2013
Halle St Pierre : Hey ! modern art et pop culture part II - (Paris - 2013)
Avis : Difficile de parle de cette exposition qui m'a laissée à la fois admirative devant certaines œuvres, dérangée par d'autres, mais perplexe la plupart du temps (Pourquoi faire autant d'oeuvres trash quand le trash est devenu la norme ?). Alors autant vous montrer mes coups de cœur :
L’œuvre de artiste Choi Xooang |
J'ai froid - Gilbert Peyre |
Joel-Peter Witkin |
Pour le reste, vous pouvez regarder cette vidéo :
dimanche 3 mars 2013
La Chèvre - Francis Weber (1981)
Synopsis : La fille du Grand PDG Bens est tellement malchanceuse qu'elle se fait
enlever alors qu'elle est en vacances au Mexique. Pour la retrouver, son
père engage le détective privé Campana qu'il associe à un gaffeur
invétéré dans l'espoir qu'il le rapproche de sa fille... (source : allociné)
Avis : J'avais jamais vu ce film, et je ne connaissais pas non plus la paire Richard/Depardieu. Et j'avoue avoir été agréablement surprise ! Les situations sont cocasses, les dialogues succulents et l'intrigue facile à suivre. Il faut toutefois garder à l'esprit que c'est un film des années 80 avec un rythme lent.
Je pense que je le reverrais avec plaisir.
J'ai une question pour vous (pour l'instant personne n'a su me donner la réponse) : Pourquoi ce titre ? Pourquoi la chèvre ?
Extrait : Je vous présente ma scène préféré !
Avis : J'avais jamais vu ce film, et je ne connaissais pas non plus la paire Richard/Depardieu. Et j'avoue avoir été agréablement surprise ! Les situations sont cocasses, les dialogues succulents et l'intrigue facile à suivre. Il faut toutefois garder à l'esprit que c'est un film des années 80 avec un rythme lent.
Je pense que je le reverrais avec plaisir.
J'ai une question pour vous (pour l'instant personne n'a su me donner la réponse) : Pourquoi ce titre ? Pourquoi la chèvre ?
Extrait : Je vous présente ma scène préféré !
Sublimes créatures - Richard LaGravenese (2013)
Synopsis : Ethan Wate, un jeune lycéen, mène une existence ennuyeuse dans une
petite ville du sud des Etats-Unis. Mais des phénomènes inexplicables se
produisent, coïncidant avec l’arrivée d’une nouvelle élève : Léna
Duchannes.
Malgré la suspicion et l’antipathie du reste de la ville
envers Léna, Ethan est intrigué par cette mystérieuse jeune fille et se
rapproche d’elle.
Il découvre que Lena est une enchanteresse, un être doué de pouvoirs surnaturels et dont la famille cache un terrible secret.
Malgré l’attirance qu’ils éprouvent l’un pour l’autre, ils vont devoir faire face à une grande épreuve : comme tous ceux de sa famille, Lena saura à ses seize ans si elle est vouée aux forces bénéfiques de la lumière, ou à la puissance maléfique des ténèbres…
Il découvre que Lena est une enchanteresse, un être doué de pouvoirs surnaturels et dont la famille cache un terrible secret.
Malgré l’attirance qu’ils éprouvent l’un pour l’autre, ils vont devoir faire face à une grande épreuve : comme tous ceux de sa famille, Lena saura à ses seize ans si elle est vouée aux forces bénéfiques de la lumière, ou à la puissance maléfique des ténèbres…
Avis : Comme je m'y attendais, c'est un film pour adolescente voulant surfer sur la vague de Twilight (amour impossible, monde magique...). Cette fois-ci, je n'avais pas lu le livre avant d'aller le voir et j'espère sincèrement que le livre est meilleur que le film : personnage sans vraiment de charisme, histoire qui traine en longueur, doublage très mal réalisé... Ce n'est vraiment pas le film de l'année mais il se laisse regarder quand on n'y attend rien de plus qu'un divertissement.
vendredi 1 mars 2013
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